Est-il possible de tendre une passerelle, un pont, une arche entre le monde de la finance, celui de la politique et la poésie ? C'est la question que je pose au Président de la République qui vient d'être élu.
Votre audace est la marque de votre jeunesse et nul, sur ce plan, ne peut vous en faire le reproche. Toutefois, il est de mon devoir, comme de celui de tous les vieux dinosaures de mon espèce, qui ont connu les dernières années de la IIIe République, l'État français, la IVe et la Ve Républiques, de prendre la liberté de vous lancer quelques conseils.
Ce qu'il y a de primordial, dans vos nouvelles fonctions, c'est la place que vous accorderez à la poésie.
Par une nuit de février 1944, alors qu'une tempête de neige s'abat sur le massif du Vercors, un bombardier lourd de la Royal Air Force s'écrase sur le territoire de la commune d'Autrans. Aucun des sept membres d'équipage n'en réchappera.
Qui étaient ces hommes ? D'où venaient-ils ? Quels étaient leurs états de service ? Quels étaient la nature et le but de leur mission ? Autant de questions restées partiellement sans réponses jusqu'à ce jour.
L'auteur et plusieurs membres de l'association « Esprit de Résistance en Rhône-Alpes » se sont lancés dans un longue enquête dont ils nous livrent aujourd'hui les conclusions dans un récit passionnant et très documenté : une page d'histoire méconnue de la Seconde Guerre mondiale, mais avant tout un vibrant hommage à ces hommes venus d'ailleurs et « tombés en plein ciel de gloire ».
« Quoi dire de plus ? » est une critique philosophique des mutations civilisationnelles que donne à voir le moment contemporain un peu partout dans le monde.
L'auteur interroge ce rapport ambigu qu'entretiennent les hommes avec l'absolu de la Mort. Rapport à ré-envisager quand le Verbe, le Rêve, la Raison et la Connaissance semblent avoir cessé d'être ce qu'ils sont d'un point de vue civilisationnel. Dévitalisées, évincées, réduites, vidées de leur teneur, ces catégories ne sont plus ce qui a vocation à transcender la société des hommes. Et parce que la nature a horreur du vide, d'autres catégories entrèrent comme par effraction pour sauver ce qui reste de la cité. Le jeu, le ludique, le positif, le matériel, l'agile, l'improvisé et l'utile se substituèrent à ce qui fonda la société des hommes jusques là. Désormais, rien ne semble aller de soi s'il s'affranchit de ces factices nécessités. La société des hommes glissa alors d'un régime de consistance vers un régime de persistance quand elle renonça à ce qui la préservait de la tyrannie de la Mort : le Verbe et la Raison. Cette société doit ainsi sa longévité à un vitalisme grivois qui n'opère plus d'un principe vital mais qui tire sa philosophie des tacites impératifs de la Mort.
Histoire d'un garçon né à Limoges en 1970, qui se découvre au fil des ans, depuis l'école primaire, comme un garçon qui repousse le sexe opposé, et n'a d'attirance que pour les garçons. Ses parents sont des gens tout à fait ordinaires, hétéros, et sans aucun problème dans les générations précédentes. François, c'est son nom, va apprendre ce qu'est l'homosexualité et il défendra la cause de tous ceux et celles qui pensent comme lui, au travers de réunions qu'il va créer dans la région de Limoges, en proclamant que les homosexuels ne sont pas des gens anormaux et qu'ils doivent vivre comme n'importe qui.
L'imagination humaine est une chose extraordinaire, dépassant de loin les concepts de notre réalité.Couplée à la philosophie, celle-ci permet de trouver un semblant de réponse à de pointilleuses questions; L'univers est-il infini? La race humaine est-elle toute-puissante? Notre monde est-il tangible... est-il réel? Vivons-nous dans une boucle interminable?Au sein de cet ouvrage, vous découvrirez de nouvelles façons de penser, de nouvelles questions à se poser et surtout, la découverte de mondes situés loin du nôtre. Et en plus de proposer de petits essais philosophiques, ce livre offre aussi une immersion dans de courts récits mêlant réflexions et découvertes.
Toutes les croyances, tous les savoirs s'élaborent dans la conscience de l'homme et produisent les représentations du monde, celles-ci variables dans le temps et selon les lieux où elles s'expriment. Mais la revendication d'une autonomie de la pensée par rapport aux dogmes d'autorité, lentement acquise, a permis l'élaboration de savoirs scientifiques capables de mener à l'accord des esprits. Aujourd'hui, les avancées dans le domaine de la physique obligent cependant à reconsidérer ce qu'on croyait définitivement acquis en ce qui concerne les rapports du sujet et de l'objet, plus précisément l'élaboration du monde dans la conscience humaine.
Le vin est un moyen. Non une fin. Il est une expression liquide qui nous dit l'indicible. Il est matière du monde. Tout au long du voyage auquel il nous invite, de la nuit de la cave à la lumière de sa révélation, le vin nous parle de lui. Il nous embarque au coeur de l'espace et du temps. À ce titre, le vin est une mémoire. Mais il nous parle aussi de nous, tel un baromètre de notre civilisation. Quand d'aucuns y voient la dangerosité du narcotique, d'autres s'émeuvent encore de cette tradition millénaire à vouloir dire le monde par le biais d'une oeuvre unique et éphémère.
L'Economie française fonctionne-telle bien ? Le niveau de chômage français est-il acceptable ? La France garde-elle son rang parmi les nations ?
- NON.
Le présent essai cherche à établir la réalité, à en rechercher les causes, à dénoncer les dérives que subit la France et de proposer une solution de régression du chômage. Le principe proposé a fonctionné dans d'autres nations, et la méthode particulière a été éprouvée dans des entreprises, a la satisfaction des des partenaires sociaux.
Les travaux de Georges Dumézil sont évoqués. Ils ont déterminé trois fonctions dans nos sociétés occidentales Noblesse, Clergé et Tiers Etat, autrement dit, d'une manière moderne : Politique, Culturelle, Economique.
Des pages d'histoire de quelques nations, éclairées sous ce prisme trifonctionnel, déterminent les conditions principales du bien vivre ou du mal être du plus grand nombre. Puis des pages de notre histoire récente et ainsi tenter, de la même manière, de dégager les causes du déclin économique français avéré.
Rappel est fait de quelques principes élémentaires, mais fondamentaux de microéconomie.
Des solutions sont proposées dans le chapitre «Que faire?» dont la principale est exposée en détail.
Enfin, les écueils à rencontrer lors de la mise en place.
Il y a plus de 4 milliards d'années, la Terre faisait son apparition dans un système solaire encore jeune. Cette nouvelle boule de feu va progressivement se transformer au cours des centaines de millions d'années qui vont suivre. Création des continents, création des mers et de l'atmosphère, apparition de la vie primitive.
Puis, la tectonique des plaques a commencé son vaste ballet. Les masses continentales se sont déplacé les unes par rapport aux autres en créant, au cours des innombrables millénaires passés, des physionomies temporaires. La planète Terre n'a pas toujours eu l'aspect que nous lui connaissons aujourd'hui.
Il y a plusieurs dizaines de millions d'années, au gré de ces mouvements, entre deux supercontinents qui convergent, une mer va naître : la Méditerranée.
En marge de ces bouleversements géographiques, la vie elle aussi continue sa marche. Les espèces se transforment, disparaissent ou évoluent. Puis, un jour, l'homme apparaît et, quittant son berceau africain, va lentement essaimer sur tout le globe. Les premières civilisations primitives peuplent l'est du bassin méditerranéen. Par la suite, l'évolution s'accélère et de multiples autres peuples vont se succéder autour de cette mer pour contribuer à forger cette civilisation méditerranéenne si riche et si variée.
Guerres, invasions, inventions, alliances ou trahisons, l'histoire du bassin méditerranéen est aussi passionnée que violente.
De nos jours, beaucoup de questions se posent au sujet du réchauffement climatique ou de la cohabitation des diverses religions. Pourtant, insensible à nos petites préoccupations, la planète continue son évolution et bouge sans cesse. Dans quelques millions d'années la Méditerranée aura disparu, une chaîne de montagne culminera à la place qu'elle occupait et la physionomie de notre Terre sera bien différente de celle que nous connaissons aujourd'hui. Quel est l'avenir de l'Homme dans ce monde qui évolue ? Et s'il n'était que de passage ? Un passage très bref au regard des centaines de millions d'années passées et des quelques milliards d'années de vie qui restent à notre soleil.
Tout un chacun possède au fond de lui un Lieu, une Terre qui a été le décor d'un ou de souvenirs. Il est là, présent, et se rappelle à nous parce qu'il est un habitant de notre histoire tout comme nous le sommes de la sienne. Dans ce livre, j'ai voulu lui rendre hommage. Magiquement, par l'écriture, je l'ai redécouvert. Car il est vain de supposer avoir tout imaginé tant que l'on ne s'est pas confronté à l'écriture, car la main qui tient la plume puise son imagination dans des profondeurs où la raison ne va pas. Ce livre est donc un essai, une invitation et une transposition. Un essai pour saisir que ce sont les mots, qui, dénommant les Choses, nous aident à mieux les (nous) connaître. Non pas comme Icare, au risque de brûler nos ailes, mais tout simplement pour nous rapprocher d'Elles. En toute humilité ! Une invitation à repenser un Lieu, une Terre, avec ses mots, passés par le prisme de notre propre écriture. Et une transposition entre ce que vous aurez compris de moi et ce que cela vous aura fait découvrir de vous. Car un livre est pour moitié à celui qui l'écrit, moitié à celui qui le lit aurait pu dire Montaigne. Je n'espère pas davantage que cette appartenance partagée. Ces pages racontent donc ma digression sentimentale dans une calanque méditerranéenne : le Pin de Galle. J'évoque aussi son Histoire ainsi que les évènements et personnages qui l'ont traversé... parfois avec la simple légèreté d'un souvenir.
Ce que vous allez lire est une expérience extraordinaire. Vous êtes sur le point d'écouter Dieu parler pour la première fois depuis bien longtemps. Oui, je sais c'est pas possible. On peut parler à Dieu, mais pas Avec Dieu. Dieu ne va tout de même pas répondre. En tout cas pas avec la forme d'une conversation, un très long dialogue même !
Au début, je le croyais moi aussi. Ce livre s'est manifesté à travers moi et je l'écoute littéralement. Je prends une dictée frénétique et lorsque vous le lirez, vous réaliserez qu'il s'est manifesté à vous d'une quelconque façon. Nous sommes tous amenés à la vérité que nous sommes prêts à recevoir. Aujourd'hui, je choisis de partager cela avec vous. Malgré le fait de n'avoir pas vécu tout cela directement dans mon passé, on pourrait me traiter d'hypocrite, de blasphémateur ou encore de menteur. À ceux-là je leur dit : qu'aurais-je à y gagner. Écrire un tel tissu de mensonges ? Quoi qu'il en soit, un processus s'est lancé et il est désormais impossible de l'arrêter. Pour une fois que je peux faire quelque chose de Grand, je n'hésiterai pas à le faire ! Mon instinct est passé dessus et je me fiche de l'opinion des autres quant au contenu de ce livre. C'est mon devoir de partager mes découvertes et mes connaissances ! Combien de fois avez - vous entendu le vieil axiome : quand l'élève est prêt, le maître apparaît ? Je suis convaincu de sources sûres que tout ce que contient ce livre est vrai. Il traitera donc de la plupart des questions que peut se poser l'homme vis à vis de Dieu. Dieu n'a jamais cessé de parler, il nous parle à tout un chacun. Il fait tout en un littéralement.
Sortie d'une emprise sectaire de par sa force de caractère, un jeune adulte doit suivre un processus d'apprentissage des codes du monde extérieur tout en devant gérer les séquelles psychologiques et psychiques. Grâce à la musique qui est sa passion, il trouve la force de suivre son chemin vers une vie normale sur lequel il peine à se trouver réellement. Poussé par la curiosité de découvrir ce monde qui lui était interdit autrefois, il cherche son identité. Cependant, avec ce voyage à la fois intérieur et extérieur, il se perd cette voie à cause de la colère froide qui l'anime contre son passé. De plus, cette démarche le sépare de sa mère qui, elle, s'enfonce dans cette emprise. Il comprend alors qu'il ne peut compter que sur lui-même pour s'en sortir et que seule sa volonté lui permettra de se protéger de la maltraitance dont il a été victime. Sa révolte solitaire contre son passé lui permettra de se forger.
La métaphysique hénologique est une métaphysique de l'unité. C'est l'unité comme principe de l'intelligible et de l'être comme trace de l'unité. Tout l'être est contenu dans l'unité, laquelle est vraiment le fond de l'être.
L'unité est toujours vérité et donc, connaissance. En effet, l'unité fait connaître. L'unité de l'être unit le monde ontologique au monde intelligible, comme elle unit le monde intelligible au monde intellectuel. L'unité engendre l'unité. Elle est fondamentalement dans la ligne de l'être et de l'intelligibilité.
L'unité est toujours universalité et donc, totalité. L'unité est toujours relation et donc, pluralité. Vérité, universalité et relation tendent à l'unité qui s'appelle également la totalité. Sans l'unité, rien ne se comprend, rien ne s'explique, rien ne se fait. Sans l'unité, il n'y a qu'obscurité, confusion et tumulte !
Sans l'unité, il n'y a pas de connaissance et sans la connaissance, c'est l'ignorance !
De l'unité au multiple jusqu'à l'infini. Il y a de l'infini dans l'harmonie, il y a un rapport de l'infini à l'unité, il y a le mélange de l'infini et de l'unité ; c'est l'harmonie à l'infini qui n'est pas autre chose que l'unité de l'être qui fait la beauté de ce monde intelligible. Tout cela signifie qu'il n'y a pas seulement des déterminations dans le réel mais de l'intelligibilité. Et cette intelligibilité oriente vers la splendeur de l'être et vers la connaissance.
Dès lors, l'être et l'unité, l'être unité, cela se module ; l'être de l'unité, l'être à l'unité, ces évaluations, facilement habillées en autant de systèmes sont le jeu d'une ontologie métaphysique à l'état pur. À partir de là, toute une philosophie de l'unité peut être déployée.
Un souffle spirituel anime également cette philosophie de l'unité car elle ouvre un horizon de l'être aussi vaste que l'esprit lui-même.
L'écriture, nous est si familière qu'on ne se préoccupe guère de ses origines, des mutations qu'elle a subies avant de nous parvenir sous sa forme actuelle, ni de ses implications dans l'évolution culturelle et cognitive de l'homme.
Selon Michel Serre, l'humanité a vécu trois grandes révolutions : l'avènement de l'écriture, l'invention de l'imprimerie, et l'apparition des nouvelles technologies.
Au Moyen-Orient, l'écriture fut d'abord logographique, cunéiforme en Mésopotamie, hiéroglyphique en Égypte. Elle a mué en alphabets consonantiques, avant de se parer de voyelles en Grèce, et de signes diacritiques au moyen orient.
Dans le monde chinois, les caractères se sont maintenus contre vents et marées, en s'imprégnant de mieux en mieux des différentes cultures de la région.
Religions, doctrines philosophiques et courants politiques ont toujours collé aux écritures, tantôt pour parrainer, et tantôt pour censurer. Les nouvelles technologies, à l'instar des antibiotiques pour l'homme, sont venues renforcer la position de telle ou telle écriture grâce aux outils qu'elles mettent à notre disposition pour nous assister, ou pour mettre en péril d'autres par le peu de soutien qu'elles leur apportent.
C'est à travers plusieurs thématiques que ces questions, et bien d'autres (chiffres, imprimerie, signature), sont traitées dans cet essai, dans un style et une présentation qui se veulent agréables et divertissants. Une ballade qui remonte les méandres de l'écriture, en tentant d'atteindre les sources, tout en marquant régulièrement des pauses sur bien des intrigues et des singularités croustillantes.
Récits de voyages en Afrique à travers le désert et les pays du Golfe de Guinée. Illustrations par des artistes contemporains africains de diverses parties de ce continent. Pensées des Sages par les proverbes.
Une étude approfondie des Écritures et de l'histoire antique nous permet de mieux connaître Jésus et de faire des découvertes surprenantes, parfois contraires aux traditions :
- Pourquoi le grec a-t-il été utilisé pour l'écriture du Nouveau Testament ?
- Comment Dieu a-t-il arrangé les évènements de l'histoire pour que son Fils vienne au moment le plus approprié ?
- Quelle était son année de naissance ?
- Quelle est l'importance de son arbre généalogique, impressionnant et pétri d'humanité ?
- Quels sont les faits intéressants concernant les Hérodes ?
- La pauvreté de sa famille nombreuse.
- Marie a-t-elle donné naissance à d'autres enfants ?
- Les preuves qu'il ne pouvait être charpentier !
- Son apparence.
- Son rapport avec les femmes.
- Ses souffrances depuis son plus jeune âge.
- Que savons-nous des Hérodes et des personnages importants de son époque comme Ponce Pilate et son ami Seianus, les grands-prêtres Anne et Caïphe, Barabbas et d'autres.
- Combien de personnes étaient présentes lorsqu'il a été arrêté ?
- Il n'est pas mort en 33 après J.-C. ni à l'âge de 33 ans !
- Quelles étaient les statistiques pour qu'il soit le Messie annoncé et qu'il accomplisse toutes les prophéties ?
Passer l'après-midi dans l'oisiveté, ça fait du bien, mais ça ne satisfait pas Damien Siobud, qui se sent alors improductif.
Et pourtant, de là naît un poème et de fil en aiguille, son regard se pose sur sa condition, la vie qui l'entoure, ici ou ailleurs, hier, ou aujourd'hui, ou demain.
Parfois avec humour et légèreté, colère, agacement ou inquiétude, mais toujours avec sincérité et du fond du coeur, l'auteur tire de ce temps de détente l'envie de faire le point et de tenter de répondre à la question qu'on se pose tous de temps à autre : où en suis-je ? Où en est le monde ?
L'amour n'est donc pas défini comme une passion, c'est-à-dire comme un affect qui s'impose à la volonté humaine en provenance d'une source extérieure à celle-ci. L'amour n'est pas seulement une force qui s'impose à la volonté en la bouleversant sans que l'individu humain n'y puisse rien, comme l'opinion populaire a souvent tendance à considérer l'amour. Selon Marion, qui s'appuie sur une conception de la volonté aux relents stoïciens, l'individu humain doit d'abord consentir à ce qui se donne à lui pour en être affecté. Ainsi, il n'y a pas d'amour sans une volonté de se laisser affecter par autrui, sans un désir de l'autre qui nait au plus intime de l'individu humain. Du fait que l'amour nécessite l'accord de la volonté humaine, nous avons conclu que l'amour selon Marion va de pair avec la liberté humaine et n'est pas seulement une passion contraire à celle-ci. Cette place qu'accorde l'auteur à la volonté humaine en amour a néanmoins suscité de nombreuses interrogations et critiques, notamment, à notre avis, en raison de la conception très nuancée de la volonté humaine sur laquelle s'appuie Marion dans le Phénomène érotique.
Il était évident d'écrire ce livre dans lequel je décris le parcours ainsi que le quotidien d'une femme, noire, souhaitant évoluer à des postes à responsabilité au sein de l'entreprise. Sur la base de mon parcours, je raconte le parcours du combattant pour mener à bien mon projet de mobilité dans un grand groupe du Cac 40, les obstacles que j'ai rencontré et surtout comment j'ai réussi à les surmonter et à aller au bout de mon projet.
Je souhaite ainsi encourager les femmes et/ou toutes personnes issues de la diversité à ne pas abandonner ni à se décourager face aux différents challenges auxquels ils peuvent être amenés à faire face au sein de la sphère professionnelle.
Dans Peau & Cie, les mots dansent sur le papier, comme les doigts dansent sur la peau.
Avides et curieux. Les mots racontent une vie, La vie.
Plus qu'un chemin sur la quête des sens, c'est l'histoire d'effleurements, de sensations et de rencontres.
Les mots dansent, mais hurlent aussi. Ils hurlent pour l'amour. L'amour qui nous éveille puis qui s'éteint, l'amour qui ne vient pas et celui qui ne nous quitte jamais. Peau & Cie ouvre un monde de poésie où se glisse toute la beauté du monde et des êtres qui y gravitent, comme une invitation à lier nos mains, à entrelacer nos doigts, à réunir nos peaux.
Cette réflexion sur la pédagogie vise à faire la différence entre la pédagogie de l'enseignement et la pédagogie inclusive. Il s'agit de partir des différences entre ces deux formes de pédagogie pour savoir passer d'un simple enseignement à un enseignement inclusif. La pédagogie de l'enseignement est centrée sur les mécanismes qui assurent une formation intégrale de l'homme. C'est une pédagogie qui implique les pratiques didactiques dans le processus éducatif. La pédagogie inclusive renvoie à l'éducation des enfants à besoins spéciaux. Il s'agit d'une forme de pédagogie qui s'intéresse à la manière d'enseigner les enfants ayant des handicaps. La lecture de cet essai permettra d'avoir des compétences qui conviennent à la gestion des processus éducatifs de tout type d'individu.
Morceaux choisis journalistiques est une série d'essais consacrée à mes différents reportages réalisés depuis mes débuts de journaliste à la télévision en 2010, jusqu'à la presse en ligne aujourd'hui, en passant par la presse écrite. Cette saga en plusieurs volumes a le mérite d'exister car c'est le fruit de mon expérience journalistique et parce que j'aime la corporation, la littérature et par-dessus tout la lecture.